lundi 17 juin 2013

L'Algérie rit jaune...


 --- Mais c'est parfait çà ! … 
ce qu'on appelle l'effet boomerang :                 
Immigration en Algérie

 
-Tiens, quelle surprise !
     
Çà vaut 10 !
A lire absolument, ça ne   manque pas de sel! 
Ça mériterait d'être expliqué à nos habitants  issus de l'immigration. 
Vu dans des extraits de journaux ça tombe pile en plein débat sur  l'identité nationale..... ! 
Marrant non ? et où sont les donneurs de leçons ???? 
 
Tu vas rire,elle est bien bonne !!!
                        
 
    
 
Les arroseurs arrosés.
·         Depuis plusieurs semaines, la presse algérienne se fait l'écho de tensions entre la communauté chinoise installée en Algérie et la population locale. 
·         Tensions qui ont donné lieu cet été à de graves agressions à l'encontre de ces immigrés asiatiques et dont la violence a même poussé les autorités chinoises à intervenir auprès de leurs homologues maghrébins pour leur demander de mettre fin à ces pugilats. ..... 
·         Les Chinois ont abusé de la gentillesse des Algériens. 
·         On  les a acceptés malgré leurs défauts, aujourd'hui ils nous agressent chez nous, a déclaré Mounir à l'A.F.P. ---  Ils boivent de l'alcool  devant leurs boutiques au vu et au su des Algériens et s'exhibent parfois en short dans le quartier. 
·          Ce sont des comportements contraires à notre  religion et notre  culture », a précisé   Abdellah, un autre habitant du  quartier.
·         Des critiques que Song explique par « un sentiment de concurrence  et de jalousie ». 
·         A Bab Ezzouar, à Alger, plus de 200 commerces  appartiennent à des Chinois.
·         « Leurs produits sont vendus à des  prix très compétitifs, ils sont ouverts tous les jours, donc ils gagnent  de l'argent, ce qui déplaît aux Algériens », observe-t-il. 

                            
  Étonnant,  non ? 
 
Ces mêmes Chinois sont implantés en France depuis des lustres mais n'ont que rarement attisé le ressentiment  des Français, contrairement à  d'autres communautés. 
Mais que les Algériens se rassurent, leurs immigrés Chinois:
 
*      ne brûlent pas encore le drapeau national dans la rue. 
*      n'imposent pas leurs coutumes alimentaires dans les écoles,  
*      n'exigent pas la construction de temples, 
*      ne réclament pas d'horaires de piscine aménagés, 
*      ne contredisent pas l'enseignement des sciences, 
*      se satisfont de médecins masculins pour leurs épouses,
*      ne profitent pas indûment des aides sociales. - etc.,etc....  
 
 à diffuser sans modération
 
 

 
 

dimanche 16 juin 2013

Massacre... et un de plus

© AP (15/06/2013)

QUETTA Au moins vingt-trois personnes ont été tuées et une quarantaine blessées samedi dans deux attentats à la bombe suivis de combats qui se poursuivaient dans l'après-midi à Quetta, une région du sud-ouest du Pakistan où les rebelles islamistes sunnites sont très actifs, selon un nouveau bilan des autorités locales.
Douze étudiantes de la ville ont été tuées et une vingtaine blessées dans un premier attentat contre l'autocar qui les transportait, puis onze personnes sont mortes dans un second commis peu après à l'hôpital qui accueillait les victimes de la première explosion, ont dit les mêmes sources.
Quetta est la capitale du Baloutchistan, région instable frontalière à la fois de l'Iran et de l'Afghanistan et bastion de nombreux groupes criminels et rebelles islamistes ou indépendantistes.
Les deux attentats de samedi n'ont pas été revendiqués pour le moment, mais cette ville a été frappée plusieurs fois cette année par des attentats sanglants contre la minorité chiite, de plus en plus visée ces dernières années, revendiqués par le Lashkar-e-Jhangvi (LeJ), un groupe armé sunnite qui considère les chiites comme des hérétiques de l'islam.
La première bombe "avait été dissimulée dans un car" réservé aux femmes étudiant dans une université de la ville, a déclaré à l'AFP Zubair Mahmood, le chef de la police de Quetta.
L'engin a explosé au moment où le car quittait l'université. "Les personnes tuées sont toutes des étudiantes", a précisé l'officier. "Nous enquêtons pour savoir si la bombe était ou non commandée à distance", a-t-il ajouté.
Nombre d'étudiantes parmi les blessés sont dans un état critique, grièvement brûlées dans l'incendie qui a ravagé le véhicule après l'explosion, a précisé Fayyaz Sumbal, un autre officier de la police locale.
Une deuxième explosion, accompagnée de coups de feu, s'est produite plus tard au service des urgences du Bolan Medical Complex, le principal hôpital de Quetta, au moment même où les femmes blessées dans le premier attentat à l'université y étaient admises, a annoncé la police, sans autres précisions, notamment sur l'identité des assaillants.
Ce second attentat a fait au moins 11 morts et 17 blessés, a annoncé un porte-parole de la force paramilitaire des Frontier Corps.
Il a eu lieu au moment où de nombreux parents et amis des victimes du premier attentat étaient massés à l'hôpital, où étaient également présents des responsables de la police et du gouvernement.
L'hôpital a été au même moment pris d'assaut pas un nombre inconnu de personnes, qui ont ouvert le feu. "Les tirs se poursuivent et nous essayons d'y voir plus clair. Les assaillants se trouvent dans différents services de l'hôpital et ont peut-être pris des otages", a ajouté le porte-parole des Frontier Corps.
Au moins un fonctionnaire a été tué et un deuxième responsable officiel a été blessé dans les tirs, d'après la télévision publique.
La panique s'est emparée de la foule, qui a couru se mettre à l'abri, a-t-on pu voir à la télévision.
On ignorait les mobiles de ces deux attaques, qui n'ont pas encore été revendiquées.
Plus de 6.000 personnes ont péri en six ans dans tout le Pakistan dans une vague d'attentats -suicide pour la plupart- commis par les talibans alliés à Al-Qaïda ou par des groupes liés à ces insurgés islamistes. Ils reprochent à Islamabad son alliance avec les Etats-Unis dans leur "guerre contre le terrorisme" depuis les attentats du 11 septembre 2001 à New York et Washington.


En lisant cette nouvelle je ne pouvais m'empêcher de citer Philippe Geluck qui faisait dire à son "Chat" :

Si un jour, on instaurait un examen pour devenir con !

Je parie qu'il y en a encore qui arriveraient à le rater !