mardi 25 septembre 2012

Image du passé ?

A votre avis que représente cette image ?

Une femme en burqa ?

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Que nenni c'est Belphégor ou le Fantôme du Louvre >> Belphégor est une mini-série française en 4 « époques » (épisodes) de 70 minutes, en noir et blanc, créée, écrite et dirigée par Claude Barma, adaptée par Jacques Armand d'après le roman d'Arthur Bernède. Elle a été diffusée pour la première fois entre le 6 et le 27 mars 1965 sur la première chaîne de l'ORTF.

Saississant non ?

https://skydrive.live.com/redir?resid=810BCE03CB0F4BC3!337&authkey=!AJhEkTeciAfWrgI

mercredi 19 septembre 2012

Il est vrai que Charlie Hebdo pousse le bouchon un peu loin !!!
Publier ça
C'est de la provoc...
Mais faire ça c'est normal...

lundi 17 septembre 2012


Un blog de Sel

Les humeurs de Marcel Sel


lundi, 17 septembre 2012

No salsa, viva Belgica !

La Belgique est particulièrement douée quand il s'agit de se rendre complètement ridicule et de montrer au monde que son administration est inculte comme une frite. Une chanteuse cubaine du groupe Sonora Cubana, mondialement célèbre, a été arrêtée à Zaventem pour un fait digne du terrorisme islamique : elle n'avait que 600 euros sur elle, elle n'avait pas de réservation d'hôtel, et l'immonde créature chantante avait osé inscrire les dates de concert dans un agenda de 2011 ! Non, mais vous vous rendez compte ! De plus, elle a le malheur de ne pas risquer de problèmes politiques dans son pays dictatorial. Eh oui : le talent, à Cuba, même Castro frères apprécient ! Ah ! Belle Belgique ! Il y a trente ans, n'importe quel quidam venu d'un pays dictatorial, doué ou non, risquant sa peau ou non, était accueilli à bras ouverts au nom de la démocratie. J'ai ainsi connu un Roumain qui, ayant avoué qu'il ne quittait pas la Roumanie de Ceaucescu pour des raisons politiques, s'est entendu répondre que ça ne changeait rien : aimer la démocratie était alors une raison suffisante pour être accueilli à bras ouverts. Aujourd'hui, on s'en contrefiche. Le soupçon de vouloir éventuellement vivre en Belgique, de son talent, est suffisant pour aller en prison sans passer par la case départ. Ou faudrait-il dire, la case "intelligence". Car à l'office des étrangers, il manque une case, et c'est bien celle-là !
La même case que celle qui manque à nos politiques, qui s'empressent de légiférer à la moindre petite anicroche (ou double croche) envers nos droits " de Belges “. Tout ce qui émeut la population fait l'objet d'un travail législatif ultrarapide et de déclarations matamoresques sur les plateaux de télévision. En revanche, que le pays se couvre de ridicule, et les politiciens de tous bords sont aux abonnés absents. Nous allons encore faire rire la planète ? Eh bien soit ! Nous avons une culture de gaufriers ? Eh bien soit. Nous sommes plus connus par le triste nom de Dutroux que pour notre Manneken Pis ? Eh bien soit ! La culture, de tout temps, fut le fer de lance de la promotion d'un État. L'Amérique nous charme par son cinéma, Cuba nous emporte par la Salsa, la France brille de mille feux par la mode et ses débats philosophiques. L'Allemagne cultive ses grands musiciens comme nous cultivons les petits pois. En Belgique, Deus est magnifique, mais autour du 16, on ne connaît pas ! La question principale est de savoir si on ne transfère pas trop de frites du Nord au Sud.
Gladys Hernandez est venue pour jouer avec un groupe mondialement célèbre, et ça me suffit amplement pour la soutenir dans cet imbroglio kafkaïen qui jette une ombre noire de stupidité sur notre administration et sur nos partis qui ne lèveront pas le petit doigt pour elle. Dame ! Il y a des jeunes qui insultent dans nos rues. Madameke ! Y'a Papademacouille qui a crié " crève salope " à Michelle Martin, fieu ! Allez, il faut agir ! Fissa ! Mon Dieu, Janneke met de pet ! Tu sais que Dutroux a demandé un bracelet électronique ? Si ça se trouve, il a aussi demandé une bouteille de château Yquem pour son anniversaire et des gants de toilette en soie ! Waouw ! Allez ! Faut se révolter, quoi ! Légiférons ! Vite ! Y'a urgence ! Les communales arrivent. Hein ? Quoi ? Une chanteuse membre d'un groupe mondialement connu est en centre fermé ? On s'en fout, putain ! Puisqu'on vous dit qu'il y a les communales ! Merde quoi ! On a des vidéos de série Z à produire pour notre campagne ! On a des chansons niveau Eddy Wally - 5 à composer pour gagner des électeurs sur un sujet su-per dérangeant. Euh… quoi encore ? Ah oui, la mobilité à Merchtem-banlieue. Le nombre de kayaks à Hotton. Eh, les gars, vite ! Faut légiférer ! Y'a un gars qui s'est fait bousculer par un vélo à la Journée sans voiture, et il en a parlé à la télé ! Oufti !
Décidément, la Belgique , plus ça va, moins ça salsa !
Bon, laissons ça, c'est juste glauque. Lisez plutôt l'appel à manifestation. Ce n'est pas pour Gladys Hernandez que je le diffuse. C'est juste pour que les Belges paraissent un tout petit peu moins imbéciles, ridicules, prétentieux, incultes, bêtes, inhospitaliers, rigides, obtus, policiers, fermés, abrutis, auprès des Alsaciens, des Ricains, des Germains, des Cubains, et de tous ceux qui aiment la salsa, la musica, la cultura criola et la Belgica libre !
No Salsa, viva Belgica, ce n'est pas le slogan de délivrance de Gladys, c'est le slogan que je recommande à tous les partis d'adopter pour cette campagne, décidément de loin la pire jamais orchestrée, à de très rares exceptions près. Mais je m'égare. La vérité, elle est toute simple : les politiciens n'ont pas de talent, il suffit de voir les minableries qu'ils nous pondent sur YouTube. C'est peut-être pour ça que quand le talent se présente au portillon, l'enfermer et le renvoyer fissa à Cuba, c'est encore la meilleure solution.
Appel à la mobilisation à Zaventem ce mardi 18 septembre 2012 à 6H du matin pour empêcher l’expulsion de Gladys Hernandez : objectif sensibiliser les passagers du vol Jetairfly 207 Bruxelles – Varadero

Communiqué de presse
Gladys Hernandez, chanteuse du groupe cubain La Sonora Cubana est arrivée à Zaventem le 28 août 2012 pour participer à une tournée musicale. Elle était porteuse de toutes les autorisations et documents nécessaires à son séjour en Belgique. Gladys est venue ici en Belgique pour y faire une série de concerts avec le groupe (notamment le 22 septembre Place Ste Catherine à Bruxelles et le 6 octobre au Bal du Bourgmestre de Berchem Ste-Agathe).

Depuis le 28 août 2012, Gladys est détenue au centre fermé de Zaventem, on lui reproche d'avoir une situation pas très claire et de ne pas présenter toutes les garanties qu'elle ne restera pas sur le territoire belge.

Gladys est en ordre de visa, possède suffisamment d'argent pour vivre et va toucher encore un cachet pour ses prestations, elle est en ordre de contrat de travail avec sa société de production belge, elle est "parrainée" par trois sociétés de production belge. Elle dispose d'une prise en charge, ce qui signifie qu'elle sera logée et nourrie pendant son séjour. Elle n'a jamais manifesté l'envie de vivre ou de rester ici. Elle est membre d'autres formations à La Havane. Gladys Hernandez est une chanteuse de réputation internationale, membre du groupe La Sonora Cubana qui a donné des centaines de concerts partout dans le monde.

Malgré les différentes démarches effectuées auprès des ministres et secrétaire d’Etat, la remise d’un dossier déposé par le producteur le 14 septembre au Cabinet de la secrétaire d’Etat à l’asile et à la migration lors d’une manifestation de soutien, l’Office des Etrangers a tenté, sans succès, d’expulser Gladys les 14 et 16 septembre.

Alors qu’une audience devant la Chambre du Conseil est programmée ce 19 septembre, l’Office des Etrangers a informé Gladys qu’elle serait expulsée ce mardi 18 septembre 2012 par le vol Bruxelles Varadero de Jetairfly.

Tous les courriers et interpellations adressés aux politiques belges sont à ce jour restés sans réponse.

Nous craignons donc que la nouvelle tentative d’expulsion réussisse et rende ainsi obsolète l’audience auprès de la Chambre du Conseil.

Nous devons nous opposer à cette expulsion et exiger la libération de Gladys Hernandez qui est détenue illégalement depuis le 28 août 2012 alors qu’elle dispose de toutes les autorisations requises pour se trouver sur le territoire belge.

Ce mardi 18 septembre 2012, dès 6H du matin, nous sensibiliserons les passagers du vol Jetairfly Bruxelles Varadero à la tentative d'expulsion de Gladys, afin qu'ils puissent à leur tour sensibiliser le pilote de l'avion si cette tentative devait mener Gladys dans l'avion.

Pour plus d’information sur la situation de Gladys Hernandez, vous pouvez contacter ses avocats :
Selma Benkhelifa
Yvo Flachet
02/215.26.26

jeudi 13 septembre 2012

Les profs, les vaches, l’argent…

Ça va mal finir

Thomas Gunzig
Ecrivain
J’ai toujours bien aimé les vaches.
Des grosses bêtes avec des regards doux et tristes.
J’ai toujours aimé, au détour d’une balade, croiser leurs grands yeux mouillés. Je crois que, parfois, je me reconnais un peu en elles, coincées derrière
un barbelé, les papattes dans la boue et l’herbe humide, à regarder passer la vie sans rien y comprendre.
A attendre une fin qui chaque jour est un peu plus proche.
Une vache, c’est incroyable comme ça se laisse faire : on lui dit de sortir et elle sort, on lui dit de rentrer et elle rentre, on lui dit de ne plus bouger et elle ne bouge plus et elle donne son lait, comme ça, sans faire d’histoires, sans rien connaître à l’économie, sans rien connaître à la Politique agricole commune, sans rien connaître à l’Europe et sans savoir que le désespoir de celui qui la trait, le poussera à le répandre par hectolitres sur le bitume d’une autoroute. Pourtant, il m’arrive souvent de penser qu’une vache, c’est vachement plus fort qu’un homme. Une vache, ça doit bien peser dans les 600-700 kilos, sans compter le lait et parfois, il m’arrive de me dire que si toutes les vaches du monde avaient soudain envie de manger de la viande, que si toutes les vaches du monde décidaient de ne plus partager, qu’elles se disaient que leur lait, c’est pour leur petit veau… Même dans les bureaux cossus et inaccessibles des commissaires européens, on aurait du souci à se faire.
Parfois, quand je vois les profs, je me dis que c’est un peu comme ces vaches que j’aime bien. Comme les vaches, ça vit dans l’inconfort de ces établissements scolaires qui se décomposent lentement, faute de moyens et surtout faute d’attention (j’ai connu des profs qui prenaient sur leur week-end pour repeindre leur classe à leurs frais).
Comme les vaches, les profs c’est plutôt docile : ça rentre quand on leur dit de rentrer, ça sort quand on leur dit de sortir, ça se tient tranquille… Et puis ça donne…
Pas du lait évidemment, mais du savoir… Chaque jour de chaque semaine de chaque année…
Et comme le lait, ce savoir, tout doucement ça fabrique des petits adultes qui seront pompier, astronaute, acteur, musicien,  vendeur de chaussettes ou bien encore ministre bien assis dans un bureau inaccessible, cossu et fraîchement repeint aux frais de la communauté.
Il m’arrive souvent de me dire que le jour où les profs en auront marre, on aura tous du souci à se faire.
Et si c’est le même jour que les vaches, nos enfants que nous aimons tant finiront maigres, déminéralisés, démoralisés et finalement assez crétins.
En un mot la fin du monde.
Et peut-être qu’alors, il faudra que dans les bureaux de ministres et les bureaux de commissaires, on commence à vraiment travailler. Mais il sera peut-être trop tard.

Le Soir Mercredi 16 septembre 2009

mardi 11 septembre 2012

Texte de Jacques TARNERO

Le 19 septembre 2006, Robert Redeker a publié un texte intitulé « Face aux intimidations islamistes, que doit faire le monde libre ? » dans Le Figaro. Robert Redeker y écrit :
  • « L'islam essaie d'imposer à l'Europe ses règles : ouverture des piscines à certaines heures exclusivement aux femmes, interdiction de caricaturer cette religion, exigence d'un traitement diététique particulier des enfants musulmans dans les cantines, combat pour le port du voile à l'école, accusation d'islamophobie contre les esprits libres. Comment expliquer l'interdiction du string à Paris-Plages, cet été ? » ;
  • « Haine et violence habitent le livre dans lequel tout musulman est éduqué, le Coran » ;
  • « Exaltation de la violence : chef de guerre impitoyable, pillard, massacreur de juifs et polygame, tel se révèle Mahomet à travers le Coran. ».
  • « Quand le judaïsme et le christianisme sont des religions dont les rites conjurent la violence, la délégitiment, l’islam est une religion qui, dans son texte sacré même, autant que dans certains de ses rites banals, exalte violence et haine ».
La rédaction du Figaro se désolidarise de Redeker et présente des excuses sur Al Jazeera. Pierre Rousselin estimera que cette publication a été « une erreur ». L'article est enlevé du site web du Figaro.
(Texte paru sur Wikipedia)
 
Texte de Jacques TARNERO, texte lu lors de la soirée de soutien à Robert Redeker du 16 novembre 2006 à Paris novembre 2006
Quand les talibans ont détruit les bouddhas de Bâmyân en Afghanistan, je  n’ai pas protesté, Je ne suis pas afghan, Quand les talibans ont interdit les cerfs-volants en Afghanistan, je n’ai pas protesté parce que je n’aime pas les cerfs-volants...
Quand d’autres islamistes ont mis une bombe à Bali contre la seule île bouddhiste en Indonésie, je n’ai pas bronché, je ne suis pas bouddhiste,
Quand les GIA ont assassiné des journalistes en Algérie, je n’ai pas bronché, je ne suis ni journaliste, ni algérien
Quand d’autres islamistes ont égorgé des centaines de paysans algériens,  je n’ai pas bronché, je ne suis pas paysan et toujours pas algérien.
Quand des islamistes ont décapité Daniel Pearl, journaliste juif américain, je n’ai pas bronché, je ne suis ni juif, ni journaliste, ni américain,
Quand Ben Laden a attaqué le World Trade Center, à New York, je n’ai  rien dit car je ne suis pas capitaliste et antilibéral, comme on aime être en France
Quand des islamistes ont assassiné un cinéaste Théo Van Gogh, je n’ai pas bronché parce que je n’aime pas les documentaires,
Quand les islamistes ont menacé des caricaturistes au Danemark, je n’ai pas protesté parce que je n’aime pas le dessin,
Quand les islamistes ont menacé un opéra de Mozart à Berlin, je n’ai pas  protesté, car je n’aime pas l’opéra,
Quand le Pape a fait des commentaires sur l’islam qui n’ont pas plu aux  islamistes, je n’ai rien dit car je ne vais pas à la messe,
Quand des islamistes ont assassiné une religieuse en Somalie et brûlé quelques églises j’ai pensé que ça ne se serait jamais produit si le Pape ne les avait pas provoqués,
Quand une jeune fille a été lapidée parce qu’elle mangeait pendant ramadan, je n’ai rien dit parce que je fais moi-même un régime,
Quand un professeur de philosophie a été menacé de mort pour avoir dit des choses désobligeantes sur Mahomet, j’ai protesté.... mais contre ce professeur... il avait exagéré, tout de même Il faut bien le dire
Quand des islamistes ont été invités au Forum Social Européen, à Paris puis à Londres, j’ai trouvé ça très bien, car je suis très ouvert sur le  social et sur l’Europe, Quand le président iranien dit que la Shoah n’a pas existé, je n’ai pas protesté parce que je n’aime pas les idées reçues ni les vérités officielles,
Quand une jeune fille a été brûlée vive en banlieue pour avoir enfreint un code d’honneur, je n’ai pas bronché, car j’ai un grand sens de l’honneur et du respect des différences culturelles,
Quand les islamistes auront assassiné tous les juifs, toutes les femmes, toutes les jeunes filles, tous les journalistes, tous les bouddhistes, tous les américains, tous les israéliens, tous les philosophes, tous les cinéastes, tous les dessinateurs et tous ceux qui ne sont pas islamistes, je crois que je ne bougerai pas parce que je vois pas pourquoi je bougerai
D’ailleurs quand Hitler avait envahi la Tchécoslovaquie, en Europe on n’a pas beaucoup bougé

L’histoire en fait se répète, sauf que la seconde fois c’est pire que la  première.
Surtout quand on y ajoute la bombe atomique. Alors je crois qu’il faut en finir avec ces incantations aussi vertueuses que vaines du « plus jamais ça »! Car « ça » est en marche, « ça » est en vue.
Et on ne  pourra pas dire qu’on ne l’a pas vu venir

Voici la rentrée...

André est professeur dans le secondaire officiel hennuyer. Sa rentrée a débuté par… une convocation dans le bureau du dirlo. "J’avais donné 10 jours à mes élèves pour se procurer un classeur A4 deux anneaux avec intercalaires et blocs de feuille. Dans le journal de classe d’un élève en retard, j’ai simplement indiqué: “Pas en ordre” sans retrait de point disciplinaire. Le dirlo m’a convoqué en qualifiant mes exigences d’“élitistes”. Un parent s’était plaint. Et il m’a menacé d’un blâme".
André et ses collègues en ont ras le cartable d’un système “crétinisant”: un élève qui est recalé s’empresse de quitter la mauvaise école qui a révélé ses lacunes. Commes les chefs d’établissement doivent compter un maximum d’élèves à la rentrée, ils font tout pour éviter les départs et donc… les échecs. Cela se traduit par des délibérations tronquées: en juin, quand un élève a accumulé quatre échecs, on remonte deux cotes pour "ne pas gâcher ses vacances". Et en septembre, s’il réussit un des deux examens de repêchage, ou s’il progresse (par exemple de 30 à… 40 %), il passe: la Communauté française estime que le redoublement pour un seul cours doit rester exceptionnel. Résultat? Certains élèves sont admis dans la classe supérieure sans avoir, dans les trois branches principales, le niveau requis. Et tout le monde dit sa surprise quand arrivent les résultats des tests Pisa.
Ce n’est donc pas les profs qui sont en cause mais le système structurel de notre enseignement. Allô, M. Dupont?
Louis MaraiteJOURNALISTE