lundi 25 février 2019

Ce n'est pas du racket... mais ça y ressemble !

Je me souviens d'un débat qui avait eu lieu à la télé (ne me demandez pas quand... mais c'est déjà ancien) où il était question de l'instaurations des fournisseurs d'énergie. Et par conséquent de la créations des distributeurs... par la fameuse Commission européenne.
L'argument massue était que cela allait faire baisser nos factures grâce au jeu de la concurrence...
Ben voyons !!!
https://www.lameuse.be/351694/article/2019-02-25/les-plantureux-benefices-des-distributeurs-denergie?from_direct=true



Dans la série... On continue à nous prendre pour des cons !


Pour ceux qui en douteraient encore !



Il faut bien réfléchir à ce qui risque d'arriver,,,,,,,,,,,,,,,,



 Il faut lire cet article jusqu'au bout: c'est édifiant!!! 

Spoliation organisée, soi-disant pour lutter contre la fraude.



Déjà que tous les parlementaires européens belges (de tous les partis) ont voté le fait qu'en cas de faillite c'est sur vos avoirs (à priori au delà de 100.000€, mais en dessous si pas suffisant) que l'on se servira.



On veut notre soumission absolue. 

Il est maintenant établi que certains pays nordiques prévoient de supprimer l’argent-monnaie, le cash autrement dit, au profit du seul virtuel ! Tous les paiements DEVRONT se faire par carte ou par application sur votre téléphone portable.



Je vous engage à bien lire ce qui suit, à y réfléchir et si vous voyez clairement la menace que cela représente pour votre liberté, à le transmettre au maximum de monde pour qu’au moins les gens comprennent ce qu’une suppression du cash aura comme conséquences désastreuses. Ceci dit, arrivera-t-on à l’empêcher ? La question reste posée ...



L’Etat s’est déjà retourné contre son peuple en lui prenant son argent en 2008 pour le donner aux banques qui auraient du être mises en faillite . Il s’apprête à recommencer ... et toujours “pour le bien des gens” évidemment.

 Réflexion soumise à votre sagacité 

Insidieusement, de nombreuses mesures législatives ou règlementaires tendent à exclure les espèces (le cash / l’argent liquide) de nos vies, à le rendre hors-la-loi.

De telles dispositions ont récemment été prises : renforcement des restrictions sur les paiements en espèces, limitation des retraits et dépôts d'espèces, contraintes sur les systèmes de paiements acceptés par les commerçants, mesures tendant à rendre obligatoires les paiements par cartes de débit ou de crédit, etc.

L'instauration d'une société sans espèces consacrerait la disparition d'un droit fondamental : celui de la propriété de ce qui a été légitimement acquis et que la monnaie sous forme d'espèces matérialise.

Article 17 de la Déclaration universelle des droits de l'homme :
1. Toute personne, aussi bien seule qu'en collectivité, a droit à la propriété

2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété.



En effet :

  • l'instauration d'une société sans espèces nous soumet au monopole du lobby bancaire. Lorsque nous déposons de l'argent dans une banque, il ne nous appartient plus : nous devenons créanciers de notre banque qui nous doit notre argent. En cas de crise financière et bancaire, la seule défense que nous ayons en tant que citoyen ordinaire consiste à retirer notre argent. Dans une société sans espèces, cela deviendra impossible.

  • l'instauration d'une société sans espèces institue un droit de regard de l'État sur tous les achats et ventes que nous effectuons (heures et lieux compris), ce que les dispositions permettent.

  • l'instauration d'une société sans espèces rend possible la mise au ban de la société d'un individu de façon instantanée. Sans aucune procédure légale, avec seulement l'intervention d'un « fonctionnaire habilité » ou même par une erreur technique, nos comptes peuvent être bloqués et nous ne pouvons plus effectuer aucun achat d'aucune autre façon.

  • l'instauration d'une société sans espèces rend les déposants prisonniers de leur banque, sachant que les nouvelles dispositions européennes prévoient que nous autres déposants serons désormais sollicités en cas de faillite de notre banque (bail-in).

  • l'instauration d'une société sans espèces rend possible une taxation arbitraire de nos dépôts bancaires liquides en cas de nouvelle crise, comme l'a vivement recommandé madame Lagarde, présidente du Fonds monétaire international.

  • l'instauration d'une société sans espèces rend possible l'application de taux négatifs comme cela est déjà en vigueur dans certains pays. Ce n'est qu'un impôt de plus prélevé sur nos comptes bancaires ; un impôt levé arbitrairement -- sans avoir été débattu ni voté -- pour subventionner les banques toujours « trop grosses pour faire faillite ».

La société sans espèces rend possible l'arbitraire et la prédation.

Emmanuel MALMENDIER

Licence en droit U.Lg.

Master en fiscalité U.Lg. - Hec

Comptable - Fiscaliste agréé


mercredi 20 février 2019

Censure

L'artiste belge Laura Laune a été censurée sur FR2 dans l'émission de Ruquier ayant pour thème "L'Eloquence" (Mardi 19/02 sur France 2).
C'est vrai qu'elle ne faisait pas dans la dentelle la petite belge mais si on invite en plateau un artiste rabelaisien au style provocateur on ne peut pas s'attendre à du "Politiquement correct" Non ?
Vérifier par vous même...
https://www.facebook.com/launelaura/videos/624806681294481/
Pourtant des "humoristes" tels que Bigard, Baffie, et autre Alevêque ne font jamais l'objet de censure... Est-ce que parce que la petite est belge ???

lundi 18 février 2019

Ecologie.... ???


Histoire vécue... ou inventée ?
À la caisse d’un super marché, une vieille femme choisit un sac en plastique pour ranger ses achats. La caissière lui reproche alors de ne pas se mettre à « l’écologie » et lui dit:
« Votre génération ne comprend tout simplement pas le mouvement écologique. Seuls les jeunes vont payer pour la vieille génération qui a gaspillé toutes les ressources! »
La vieille femme s’excusant auprès de la caissière expliqua:
« Je suis désolée, nous n’avions pas de mouvement écologique dans mon temps. »
Alors qu’elle quittait le magasin, la mine déconfite, la caissière en rajouta:
« Ce sont des gens comme vous qui ont ruiné toutes les ressources à notre dépens.
 C’est vrai, vous ne considériez absolument pas la protection de l’environnement dans votre temps! »

La vieille dame se retournant admît qu’à l’époque, on retournait les bouteilles de lait, les bouteilles de limonade et de bière au magasin qui les renvoyait à l’usine pour être lavées, stérilisées et remplies à nouveau ; on utilisait les mêmes bouteilles à plusieurs reprises.
 - À cette époque, les bouteilles étaient réellement recyclées, mais on ne connaissait pas le mouvement écologique.
De mon temps, on montait l’escalier à pied : on n’avait pas d’escaliers roulants dans tous les magasins ou dans les bureaux. On marchait jusqu’à l’épicerie du coin aussi. On ne prenait pas sa voiture à chaque fois qu’il fallait se déplacer de deux rues.
 Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.
À l’époque, on lavait les couches de bébé avec du savon ; on ne connaissait pas les couches jetables ni les lingettes.
 On faisait sécher les vêtements dehors sur une corde à linge; pas dans un machine avalant 3000 watts à l’heure.
On utilisait l’énergie éolienne et solaire pour vraiment sécher les vêtements.
 À l’époque, on recyclait systématiquement les vêtements qui passaient d’un frère ou d’une sœur à l’autre.
C’est vrai ! on ne connaissait pas le mouvement écologique
À l’époque, on n’avait qu’une TV ou une radio dans la maison ; pas une télé dans chaque chambre. Et la télévision avait un petit écran de la taille d’une boîte de pizza, pas un écran de la taille de l’État du Texas.
Dans la cuisine, on s’activait pour fouetter les préparations culinaires et pour préparer les repas ; on ne disposait pas de tous ces gadgets électriques spécialisés pour tout préparer sans efforts et qui bouffent des watts autant qu’EDF en produit.
Quand on emballait des éléments fragiles à envoyer par la poste, on utilisait comme rembourrage du papier journal ou de la ouate, dans des boites ayant déjà servi, pas des bulles en mousse de polystyrène ou en plastique.
À l’époque, on utilisait l’huile de coude pour tondre le gazon ; on n’avait pas de tondeuses à essence auto-propulsées ou auto portées.
À l’époque, on travaillait physiquement; on n’avait pas besoin d’aller dans un club de gym pour courir sur des tapis roulants qui fonctionnent à l’électricité.
 Mais, vous avez raison : on ne connaissait pas le mouvement écologique.
À l’époque, on buvait de l’eau à la fontaine quand on avait soif ; on n’utilisait pas de tasses ou de bouteilles en plastique à jeter à chaque fois qu’on voulait prendre de l’eau.
 On remplissait les stylos plumes dans une bouteille d’encre au lieu d’acheter un nouveau stylo ; on remplaçait les lames de rasoir au lieu de jeter le rasoir après chaque rasage.
 Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.
À l’époque, les gens prenaient le bus, le métro et les enfants prenaient leur vélo pour se rendre à l’école au lieu d’utiliser la voiture familiale et maman comme un service de taxi de 24 heures sur 24.
À l’époque, les enfants gardaient le même cartable durant plusieurs années, les cahiers continuaient d’une année sur l’autre, les crayons de couleurs, gommes, taille crayon et autres accessoires duraient tant qu’ils pouvaient, pas un cartable tous les ans et des cahiers à jeter fin juin, de nouveaux crayons et gommes avec un nouveau slogan à chaque rentrée.
 Mais, c’est vrai, on ne connaissait pas le mouvement écologique.
On avait une prise de courant par pièce, pas une bande multiprises pour alimenter toute la panoplie des accessoires électriques indispensables aux jeunes d’aujourd’hui.
ALORS NE VIENS PAS ME FAIRE CHIER AVEC TON SAC PLASTIQUE ET TON MOUVEMENT ÉCOLOGIQUE !!!!!!
La vieille dame avait raison : à son époque, on ne connaissait pas le mouvement écologique, mais on vivait chaque jour de la vie dans le respect de l’environnement - Enfin pour le citoyen lamda... car les industries de cette époque polluaient déjà à tout va... C'était LA REVOLUTION INDUSTRIELLE

jeudi 14 février 2019

On est pas sortie de l'auberge avec la Pacte d'excellence !!

Ceux qui ont baptisé un ballon du nom de référentiel bondissant et une bête gomme de bloc mucilagineux à effet soustractif viennent de trouver un nouveau champs d'expérimentation pédagogique
https://basse-meuse.lameuse.be/346631/article/2019-02-14/un-eleve-de-3e-secondaire-devra-etre-capable-de-laver-le-sol

Ce matin, en prenant mon petit déjeuner et en écoutant d'une oreille distraite les commentaires des chroniqueurs du matin... Je me suis demandé si nous étions le 1° avril ou le 14 février !!!

Un chantier titanesque occupe les acteurs de l’école: la réécriture de tous les référentiels de savoirs et de compétences pour toutes les années et toutes les matières, 1.500 pages au total! Ce que l’on attend comme acquis d’un élève de 3e secondaire, à la fin du futur tronc commun, à 15 ans donc? Savoir laver le sol et utiliser un presse purée. La cheffe du groupe MR au Parlement francophone, Françoise Bertieaux, en a avalé son café de travers…

Mise à part l'aberration incommensurable des "super cerveaux" qui pondent ces conneries... Je me suis fait la réflexion... Quel va être le titre requis pour pouvoir enseigner cette matière... A qui va-t-on confier ces leçons ? Aux femmes du personnel d'entretien qui devront d'abord obtenir un CAP ???

Et puis que va faire l'AFSCA, cet organisme de contrôle qui a obligé une grand-mère a arrêter de faire de la soupe pour les petits d'une école avec les légumes de son jardin arguant que ceux-ci n'étaient pas contrôlés et que les installations où elle cuisinait n'étaient pas "aux normes"...