jeudi 27 décembre 2012

Joyeuses fêtes

Nous voici à la fin de l'année... Moment de fête et de détente...

Afin que vous passiez un bon moment nos dirigeants vous ont concocté un bon menu festif...


Attention quand même aux indigestions

mercredi 12 décembre 2012

Et la solidarité... Bordel !!!


Et la solidarité bordel ….. Je continue à payer l’impôt de solidarité …. qui était temporaire . Les promesses n’engagent que ceux qui les entendent ….. Pierre de la Wérick (je pense que c’est encore un HOAX donc à vérifier ! prudence avec l’info, recoupez vos infos dixit « de Borsus ») 38 Euros par jour !!! Tout le monde doit le savoir!!! Ce que tout le monde sait déjà....à vomir !!!! C'est bien plus que l'allocation sociale attribuée à nos sans abris qui s'élève, si j'ai bonne mémoire, à moins de 500€ mensuel. Mais ou "Wallons-Nous???" (à lire à haute voix!) .

Honte à la Belgique ? Non ! Mais honte à nos gouvernants, Oui !!!! Ce que les réfugiés de l'aéroport de Bierset (Liège) ont revendiqué et obtenu !! Seulement 38 euros par jour, comme argent de poche, du fait qu'ils sont logés, nourris et blanchis à l'œil !!!! Pour eux…mais sur le compte des Belges !!! Sachant que le Ministre des pensions veut que les Belges travaillent plus pour avoir des bonus avec leur pension, sans quoi les nouvelles pensions vont être diminuées, les Belges disent.... Honteux !!!! Vive les politiciens Belges ! 38 euros par jour et par réfugié à Bierset ... Combien donne-t-on, Messieurs les Ministres, à nos Belges qui meurent de froid dans nos rues ? ? ?

RIEN ! Or, ….. 38 x 30 jours = 1140 euros par personne ! en net ! ! ! Beaucoup de pensionnés ont beaucoup moins alors qu'ils ont travaillé toute leur vie... C'est HONTEUX ! À transférer ... si vous osez !

Ps : réfléchissez quand même à ceci… Depuis un quart de siècle on ne se préoccupe plus (dans les sphères dirigeantes) que du COMMUNAUTAIRE… Rien à foutre les citoyens (surtout les moins nantis)… du moment que l’on découpe ce qui reste de la Belgique afin de créer des « postes » pour les petits copains…

vendredi 7 décembre 2012

L'art de "baisser son froc"


Une visite du Père Noël dans une école annulée? La directrice n'aurait pas dû reculer...

Par Yves Delahaie
Apartide, mais engagé


LE PLUS. La visite du Père Noël déprogrammée. C'est la décision qui a été prise par la directrice d'une école maternelle de Montargis, après avoir subi des pressions de la part "d'une poignée de mères de famille de confession musulmane". Avant de faire machine arrière. Pour Yves Delahaie, professeur, cette fête a toute sa place à l'école.

L’air de Noël est propice aux contes. Celui d’un homme à la barbe longue venant semer la terreur auprès des enfants est connu sous le nom de "Barbe bleue". Pourtant, en cet hiver 2012, il semble que la directrice d’une école de Montargis ait décidé de réécrire à sa façon l’histoire.
Comme tous les ans, l’école maternelle du Grands Clos s’apprêtait à réserver une surprise aux enfants. Et quoi de plus traditionnel que la venue du Père Noël en cette période de fin d’année ? Seulement voilà, certains parents ne l’entendaient pas de cette oreille.

Un mythe païen
On aurait pu comprendre que des parents se plaignent du peu de sort accordé à la pédagogie en la venue d’un tel individu. Mais fi de ces considérations, ce sont les croyances religieuses qui sont évoquées pour s’offusquer de la manifestation.
 Les fameux parents se sont revendiqués comme étant "musulmans" et ont directement contacté l’élu municipal en charge de l’éducation pour se plaindre. Plus grave, à la suite de ces pressions, la directrice de l’école a tout bonnement décidé d’annuler l’événement.
 Devant l’ampleur du scandale, qui a fait boule de neige dans les médias, le maire de Montargis est monté au créneau pour exprimer sa consternation face à ce qu’il considère comme un contresens, rappelant, à juste titre, que le Père Noël n’a aucunement une origine religieuse et qu'il relève bel et bien d’un mythe païen.
 Dans l’après-midi, on apprenait d'ailleurs que la directrice de maternelle faisait marche arrière et programmait à nouveau la venue du Père Noël… La tournée du patriarche pourra finalement reprendre sous l’œil des caméras et des journalistes que l’on imagine nombreux.

Un fête qui transcende le religieux
 Si l’affaire fait grand bruit, c’est bien évidemment qu’elle pose deux problèmes majeurs : la contestation des parents pour des “motifs religieux" et la réaction de la directrice de l’école.
 Il ne faudrait d’ailleurs nullement reporter l’origine de l’affaire sur le contexte actuel autour de la laïcité. Ce n’est pas nouveau. Déjà en 2004, le rapport Obin, remis au gouvernement de l’époque et intitulé "Les signes et manifestations d’appartenance religieuse dans les établissements scolaires", évoquait ce problème : 
 "La première manière de manifester une appartenance religieuse est donc de contester le calendrier ou les fêtes scolaires, ou de s’en affranchir, ce qui est de plus en plus fréquent. La fête de Noël est de ce point de vue la plus contestée par certains élèves et parents. En plus d’un endroit on nous a rapporté la demande d’élèves ou de familles de supprimer 'l’arbre de Noël' et la fête scolaire traditionnellement organisée à cette occasion par l’école ou le collège ; ce qui a parfois été obtenu."
 Et l’on voit ici toute la confusion qu'apportent ces contestations puisque, sur des motifs religieux, l’on mélange le caractère religieux de la fête de Noël et les attributs païens que la tradition lui a associés, comme le sapin de noël ou le Père Noël dans l’affaire de Montargis.
 D’ailleurs, certains catholiques intégristes refusent de célébrer le sapin dans leur salon, au nom d’un culte païen qui porterait atteinte au message qu’ils entendent donner à Noël, à savoir la naissance de Jésus.
 Le problème réside donc dans cette interprétation extravagante de la laïcité ou plus exactement des manifestations et autres événements qui gravitent autour de Noël, et qui montrent que, davantage qu’une fête religieuse, le 25 décembre est devenu au fil du temps un événement qui transcende les frontières du religieux.
Et qui rappelle que toutes les propositions simplistes comme celle qui consiste à créer des fêtes pour les autres religions, comme l'a proposé Eva Joly au cours de sa rocambolesque présidentielle, sont à côté du sujet.

Ne jamais reculer sur la laïcité
De la même manière, il faut veiller à de ne recourir à aucun amalgame en généralisant la position des musulmans sur la question. Il s’agit ici de parents à la marge, qui portent des exigences dans tout ce qu’elles ont d’intégristes, et qui ne sauraient être représentatifs des croyants de France, comme le rappelle avec bon sens un père de famille de l’école selon qui les musulmans de son entourage "n'ont aucun problème avec le Père Noël"...
Tout juste peut-on se permettre de dire que l’intégrisme en France se porte bien. Bien qu'ultra-marginaux en nombre, ces positions ont un écho déflagrateur sur l’ensemble du pays, qu’ils s’opposent à la venue du Père Noël, qu’ils encensent les crimes d’un frère djihadistes ou qu’ils frappent violemment des femmes venues contester leur haine avec des messages peinturlurés sur le corps.
Mais plus inquiétant encore est la réaction de cette directrice, qui a préféré faire fi des valeurs et des principes pour céder à des pressions qu’elles jugeaient trop lourdes. Le barrage a cédé face à une marée à peine agitée.
 Combien de fois faudra-t-il rappeler qu’il faut rester ferme et juste ? Le respect des religions n’implique nullement d’adapter les manifestations d’un espace public en fonction de la spiritualité de chacun. Surtout quand il n’y a aucun parti-pris pour une autre croyance comme c’était le cas ici. Un simple exercice de pédagogie aurait suffi à expliquer que le Père Noël ne relevait pas du religieux et que leur revendication, de même que leur crainte, n’étaient donc pas fondées.

Céder plutôt que de s’affirmer. Céder plutôt que d’expliquer. Céder plutôt que de dialoguer. Elle est sans doute ici la plus grande des violences faite à notre société.

mardi 4 décembre 2012

Dindon de la farce...


Intéressant …….
Pourquoi la "privatisation" du secteur énergétique, qui était censée faire baisser les prix par le jeu de la concurrence, a-t-elle eu l'effet inverse, et pas qu'un peu (30% d'augmentation, en moyenne) ?

Il suffit d'analyser sa facture pour voir que le prix de l'énergie n'explique pas tout, loin de là.

Ma dernière facture m'apprend que je paie le Kwh 0,1649 Euros, mais le plus intéressant est de voir comment est distribué ce prix, entre la production de l'énergie, son transport et la distribution, sans oublier la taxe pour financer les éoliennes :
Production
0,076847
46,59%
Transport
0,007034
4,26%
Contribution énergie verte
0,0128897
7,81%
Distribution
0,068176
41,33%
Total
0,1649467
100,00%

Premier point, le prix de la PRODUCTION de l'énergie n'atteint même pas la moitié du prix de vente final.

Ensuite, le TRANSPORT, c'est à dire la gestion et l'entretien du réseau électrique, représente moins de 5%.

Nous en avons terminé avec l'indispensable, qui inclut déjà les plantureux bénéfices des producteurs et des gestionnaires du réseau.
Et on est à 50% de ce que vous payez.


Vient ensuite la contribution énergie verte, qui sert à enrichir les promoteurs de l'éolien et du photovoltaïque, qui parait-il ne pourraient pas être rentables sans cela, alors qu'ils utilisent l'énergiegratuite du vent et du soleil : 7,81 %, près du DOUBLE du prix du transport. Autrement dit, les quelques éoliennes qu'on voit ça et là dans nos campagnes coûtent près du double de l'ensemble du réseau de distribution. Belle performance, en vérité !

Last but not least : la distribution, c'est-à-dire les anciennes intercommunales en partie privatisées, qui relèvent les compteurs et nous envoient les factures :
  
41,33 % ! 

Vous avez bien lu : presque autant que la production !!!

C'est comme pour les carburants : on paie surtout des taxes, et des taxes sur les taxes, puisque tout ça – y compris la "contribution", qui est une taxe si je ne m'abuse, et autres "cotisations" – est frappé en plus de 21% de TVA, c'est à dire le maximum permis par l'UE. Comme si l'électricité était un luxe !

Reste tout de même un question lancinante : comment est-il possible que relever les compteurs et établir les factures puisse coûter pratiquement aussi cher que produire l'électricité ?

Lire ci-dessous un élément de la réponse.

Dormez bien, braves gens, ne craignez plus les cambrioleurs, ils vous coûtent nettement moins cher que ceux pour qui vous avez voté.
Et au moins vous pouvez vous assurer contre le cambriolage, alors qu'aucune assurance ne vous couvrira jamais contre la rapacité de vos élus.


Une présidente d'intercommunale démissionne "dégoutée" par ses jetons de présence 
BELGIQUE | lundi 31 octobre 2011 à 17h17
Une députée S.pa se dit dégoûtée par les rémunérations au sein des intercommunales
Elke Roex est une députée 
s.pa du parlement bruxellois. Elle est aussi présidente d'une intercommunale, Sibelgaz, qui gère l'électricité de cinq communes flamandes. Le système de rémunération lui pose un réel problème de conscience. Elle démissionne.
Elke Roex occupe le siège de président du conseil d'administration de Sibelgaz depuis 2007. Aujourd'hui, elle se dit "dégoutée" par la manière dont les choses sont organisées. Le système qu'elle dénonce aujourd'hui ressemble fort à une manière, pour les administrateurs, de s'en mettre plein les poches en faisant un minimum d'efforts.

La socialiste flamande dénonce d'abord l'organisation des réunions du conseil d'administration de Sibelgaz. Trois réunions d'un quart d'heure, au lieu d'une réunion de 45 minutes. Cela permet évidemment de toucher 3 jetons de présences au lieu d'un. Et il valait mieux ne pas poser trop de questions. "Moi je m'étais préparée pour les réunions, mais on ne laisse même pas le temps de poser des questions. Ce n'est pas dans les habitudes. Quand je posais des questions, je passais pour l'embêtante ou pour cellequi ne comprend rien".


Quatre réunions: 16 000 euros

Elke Roex dénonce aussi des journées de travail organisées dans le seul but de faire un bon repas. Elle cite l'exemple d'une réunion à la mer destinée à observer les éoliennes et leur importances dans l'évolution des recherches de nouvelles énergies. Ce jour-là, personne n'a vu la moindre éolienne puisque tout le monde est resté dans un restaurant de la côte.   

En fonction depuis 2007, Elke Roex explique pourquoi elle n'a pas démissionné plus tôt. "Dès le début j'ai été mal avec les sommes touchées. Ce n'est pas normal de toucher 16 000 euros pour 4 soirées par an. J'ai d'ailleurs créé une bourse d'étude pour étudiants avec cette somme. J'ai essayé de changer les choses là dedans. Puis à un moment donné ça a été trop et je ne pouvais plus être en accord avec moi-même."


Des machines à mandats

Elke Roex a eu le sentiment que le silence est plus que souhaité dans ce genre de situations. " Les gens ne sont pas envoyés là par les partis pour poser des questions, ils sont là pour avoir des compensations de ne pas être bourgmestre ou échevin. C'est ce genre de politique qu'on ne peut plus mener dans des temps comme aujourd'hui. Des intercommunales ce n'est pas fait pour donner des compensations, ca ne peut plus être des machines à mandats. Ici, on doit gérer l'électricité des gens et c'est très important. On ne peut pas se permettre de continuer comme ça".

La députée 
s.pa a parlé de ses impressions à certains de ses collègues qui ont répondu assez clairement. "Elke, je n'ai pas été élu bourgmestre. Tu ne vas pas me prendre ce poste là en plus". 

Sacha Daout et Pascale Bollekens

Source : 
http://www.rtbf.be/info/belgique/detail_une-presidente-d-intercommunale-demissionne-degoutee-par-ses-jetons-de-presence?id=7010993