J'ai trouvé cet article sans nom d'auteur mais les faits qu'il révèle sont assez pertinents et si vous faites un peu attention à ce que vous achetez.... vous trouverez vite que c'est la vérité...
Fumisterie dans l'agro-alimentaire !
Prenez le temps de lire, ça vaut la peine !
En cherchant
sur l'emballage, il n’est plus indiqué « yaourt » sur les Paniers de Yoplait ! A
l'intérieur, le produit n’a rien à voir avec du yaourt et mérite juste
l’appellation de : « spécialité laitière
à l’arôme artificiel de fruit », écrite en
caractère minuscule.
Sur les
forums, les consommateurs sont unanimes et s’accordent à dire que le produit
s'est dégradé en terme de qualité et il n'est pas le seul d'ailleurs. Le
biscuit Prince et la crème dessert Danette font partie du lot.
La nouvelle
recette de Mars appelée Cœur fondant, introduite en 2007 soi-disant« afin de
s’adapter aux nouvelles demandes des consommateurs », affiche une perte de
16 % de son poids avec un prix de vente aux consommateurs inchangé.
Un autre
exemple frappant, les pizzas de supermarché qui étaient autrefois
faites avec du fromage et qui sont maintenant recouvertes de « préparation
fromagère ». Imaginez
«mama» avec toutes les éprouvettes dans la cuisine.
Les biscuits
Prince nouvelle génération n'échappent pas à ces évolutions horribles. Ils s’émiettent,
ne nourrissent pas, ressemblent à du polystyrène expansé et sont beaucoup plus
sucrés.
Leurs poids a
baissé et les ingrédients qui entrent dans la recette ont changé.
Avant l’été 2008, le célèbre paquet de Prince LU pesait 330 g. À la rentrée
suivante, il ne pesait plus que 300 g, mais coûtait toujours le même prix.
Le chocolat
qui, jadis, touchait les bords, ne forme plus qu’un petit rond à l’intérieur à
peine plus grand qu’une pièce de 2 euros. Sur le paquet, il n’est d’ailleurs
plus écrit « Prince au chocolat »…
mais au « goût chocolat ».
Modifier la taille !
Danone a
imaginé une stratégie assez rusée pour ses crèmes dessert : Vendus par
quatre, les pots de crème vanille ou chocolat pèsent 125 g. Vendus par
douze ou par seize, ils ne pèsent plus que 115 g. « Réduire les
portions, c’est réduire l’impact en termes de calories », explique Danone.
Autrement dit
: « On vous arnaque… mais c’est pour votre bien ! Cela vous évite de trop manger
de nos produits qui sont mauvais pour votre santé. »
Le pot de
fromage blanc Jockey de 1 kg ne pèse plus que 850 g, les 4 petits pots de 100 g
ne pèsent plus que 90 g.
Les nouvelles
crèmes Mont-Blanc soi-disant avec « encore plus de saveur » sont devenues immangeables.
Ne reste que du sucre, du colorant et de la farine pour épaissir.
Poisson pané : où est le poisson ??
Quand j’étais
enfant, ma maman me faisait parfois du poisson pané (avec les yeux dans les
coins). Je me rappelle très nettement que, lorsque je « l’ouvrais »,
je voyais des sortes de lamelles comme
dans du vrai poisson. Ce n’est plus le cas aujourd’hui où seules des raclures
de poisson sont agglomérées pour faire ce genre d’aliment. Les «
croquettes » de poisson de mon enfance, qui étaient rectangulaires, ont en
outre été remplacées par le format « bâtonnet » permettant de
mettre proportionnellement beaucoup plus de panure… et moins de poisson.
Autres « astuces » de l’industrie
agro-alimentaire :
Les barres de
céréales style Grany ont considérablement «maigri ». Elles flottent dans
leur emballage qui, lui, est resté identique.
Ce n’est pas
parce qu’un fromage a une forme de fromage de chèvre (cylindre, pyramide…)
qu’il est fait avec du lait de chèvre ! Beaucoup de fromages de chèvre sont en
fait fabriqués à partir de lait de vache aromatisé au chèvre.
Pour la
plupart des marques, l’eau minérale est passée de 1,5 l à 1,25l, l’eau
Saint-Amand est passée à 1 l, la Badoit à 0,75 l.
Le sucre en
poudre, qui s’était toujours vendu au kilo, est aujourd’hui conditionné dans
des sachets en plastique aux couleurs chatoyantes.
C’est bien
plus pratique pour verser le sucre, il y a un bouchon… mais il n’y a plus que
750 g de sucre dedans .
Il n’y a plus
que 16 dosettes de café au lieu de 18 dans les paquets L’Or Intense de Carte Noire…
mais l’apparence du paquet et le prix sont restés les mêmes !!!
Nestlé et les consommateurs dyslexiques :
Vous
connaissez la dyslexie, un problème qui se répand dans la population où les
gens confondent et échangent des lettres. Il faut croire qu’un as du marketing
de Nestlé a eu l’idée d’exploiter cette faille. La tablette Nestlé Noir
Dessert, qui existait depuis 1971, est passée brutalement en 2013 de 250 g à
205g, un véritable « trompe-l’œil ».
Mais
l’avantage pour Nestlé est double : économiser sur le chocolat et surtout vous
obliger à en acheter deux puisque les recettes traditionnelles
sont faites pour 250 g de chocolat ! Génial, tout simplement.
Le
chocolatier Côte d’Or n’a pas fait mal non plus. Les plaquettes de chocolat
Noir Orange 70 % de cacao ont subi une discrète modification en 2014 : l’image
(avec l’orange) était toujours la même. Mais le «70 %» avait disparu. Il faut
pratiquement une loupe pour s’apercevoir, dans la liste des ingrédients, qu’il
n’y a plus que 56 % de cacao.
Les emballages :
Ils coûtent
cher à l’environnement: sous prétexte
de « garder la fraîcheur » de vos biscuits, la plupart sont désormais rangés
par deux sous film plastique. Sachant que ces sachets sont eux-mêmes dans une barquette
en plastique, elle-même dans une boîte en carton, elle-même emballée dans
un film plastique… vous remplissez votre poubelle pour huit malheureux
biscuits, tandis qu’on vous serine qu’il faut « lutter contre le gaspillage »
pour protéger la planète.
Les pots de
rillettes Bordeau Chesnel sont, avec leur fond plusieurs étages, leur double
fond, leur couvercle multidimensionnel et leur épaisse couche de gras blanc
(saindoux), des chefs-d’œuvre d’illusionnisme. Vous achetez un pot qui,
extérieurement, semble toujours avoir la même taille. Mais la quantité de rillettes
a fondu.
Un lecteur repenti « balance » :
« J’ai assumé des responsabilités au niveau
direction générale d’une grande marque de produits pour la maison et ces pratiques
sont courantes. Exemple, un produit pour laver la vaisselle à la main se compose
essentiellement d’eau, d’un agent nettoyant à base de détergent ou de « teepol »
(le produit actif, qui est le plus cher dans la formule), d’un colorant et d’un
parfum associé (le colorant jaune sera associé au citron par exemple, le vert à
une senteur pin…).
Pour lancer
un nouveau produit, le fabricant va doser largement l’agent qui
lave et dégraisse vraiment. Les consommateurs vont trouver génial le produit
qui dégraisse bien. Une fois fidélisé, le fabricant économise sur la formule en
diminuant progressivement le détergent.
Les plus
vicieux vont jusqu’à introduire à la place un agent moussant qui ne coûte
quasiment rien, mais donne à la ménagère l’impression que son produit « marche
toujours » !
Autre truc :
autrefois, les flacons ménagers étaient ronds et contenaient un litre. On les
aplatit et réduit à 75 cl. Il y a plus de place sur
l’étiquette visible (le facing) pour vanter la qualité du nouveau produit !
Plus efficace encore, le flacon de forme « goutte d’eau » qui donne
l’impression visuelle qu’il y a plus de produit
dedans, à cause de l’effet loupe .
Signalons
enfin les paquets de mouchoir carrés, qu’on nous a vendus en nous expliquant
que le nouveau format « entrait mieux dans la poche ».
Moins
encombrant, certes, mais avec 9 mouchoirs au lieu de 12 auparavant et une
taille plus petite qui oblige à les jeter plus vite. »
C’est malin tout ça ...
Mais devinez,
qui est "couillonné" ?
Bonne journée
quand même !