lundi 25 février 2019

Dans la série... On continue à nous prendre pour des cons !


Pour ceux qui en douteraient encore !



Il faut bien réfléchir à ce qui risque d'arriver,,,,,,,,,,,,,,,,



 Il faut lire cet article jusqu'au bout: c'est édifiant!!! 

Spoliation organisée, soi-disant pour lutter contre la fraude.



Déjà que tous les parlementaires européens belges (de tous les partis) ont voté le fait qu'en cas de faillite c'est sur vos avoirs (à priori au delà de 100.000€, mais en dessous si pas suffisant) que l'on se servira.



On veut notre soumission absolue. 

Il est maintenant établi que certains pays nordiques prévoient de supprimer l’argent-monnaie, le cash autrement dit, au profit du seul virtuel ! Tous les paiements DEVRONT se faire par carte ou par application sur votre téléphone portable.



Je vous engage à bien lire ce qui suit, à y réfléchir et si vous voyez clairement la menace que cela représente pour votre liberté, à le transmettre au maximum de monde pour qu’au moins les gens comprennent ce qu’une suppression du cash aura comme conséquences désastreuses. Ceci dit, arrivera-t-on à l’empêcher ? La question reste posée ...



L’Etat s’est déjà retourné contre son peuple en lui prenant son argent en 2008 pour le donner aux banques qui auraient du être mises en faillite . Il s’apprête à recommencer ... et toujours “pour le bien des gens” évidemment.

 Réflexion soumise à votre sagacité 

Insidieusement, de nombreuses mesures législatives ou règlementaires tendent à exclure les espèces (le cash / l’argent liquide) de nos vies, à le rendre hors-la-loi.

De telles dispositions ont récemment été prises : renforcement des restrictions sur les paiements en espèces, limitation des retraits et dépôts d'espèces, contraintes sur les systèmes de paiements acceptés par les commerçants, mesures tendant à rendre obligatoires les paiements par cartes de débit ou de crédit, etc.

L'instauration d'une société sans espèces consacrerait la disparition d'un droit fondamental : celui de la propriété de ce qui a été légitimement acquis et que la monnaie sous forme d'espèces matérialise.

Article 17 de la Déclaration universelle des droits de l'homme :
1. Toute personne, aussi bien seule qu'en collectivité, a droit à la propriété

2. Nul ne peut être arbitrairement privé de sa propriété.



En effet :

  • l'instauration d'une société sans espèces nous soumet au monopole du lobby bancaire. Lorsque nous déposons de l'argent dans une banque, il ne nous appartient plus : nous devenons créanciers de notre banque qui nous doit notre argent. En cas de crise financière et bancaire, la seule défense que nous ayons en tant que citoyen ordinaire consiste à retirer notre argent. Dans une société sans espèces, cela deviendra impossible.

  • l'instauration d'une société sans espèces institue un droit de regard de l'État sur tous les achats et ventes que nous effectuons (heures et lieux compris), ce que les dispositions permettent.

  • l'instauration d'une société sans espèces rend possible la mise au ban de la société d'un individu de façon instantanée. Sans aucune procédure légale, avec seulement l'intervention d'un « fonctionnaire habilité » ou même par une erreur technique, nos comptes peuvent être bloqués et nous ne pouvons plus effectuer aucun achat d'aucune autre façon.

  • l'instauration d'une société sans espèces rend les déposants prisonniers de leur banque, sachant que les nouvelles dispositions européennes prévoient que nous autres déposants serons désormais sollicités en cas de faillite de notre banque (bail-in).

  • l'instauration d'une société sans espèces rend possible une taxation arbitraire de nos dépôts bancaires liquides en cas de nouvelle crise, comme l'a vivement recommandé madame Lagarde, présidente du Fonds monétaire international.

  • l'instauration d'une société sans espèces rend possible l'application de taux négatifs comme cela est déjà en vigueur dans certains pays. Ce n'est qu'un impôt de plus prélevé sur nos comptes bancaires ; un impôt levé arbitrairement -- sans avoir été débattu ni voté -- pour subventionner les banques toujours « trop grosses pour faire faillite ».

La société sans espèces rend possible l'arbitraire et la prédation.

Emmanuel MALMENDIER

Licence en droit U.Lg.

Master en fiscalité U.Lg. - Hec

Comptable - Fiscaliste agréé


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